mardi 31 décembre 2013

Le portrait, tome 1

Résumé :


St Pétersbourg à la fin du XIXe siècle. Tcharkov est peintre. Doué, à l’académie ses professeurs le reconnaissaient aisément. Mais depuis, il crève de faim dans les rues enneigées de la capitale tsariste. Il erre dans les galeries, les marchands de tableaux quand il tombe sur ce portrait couvert de poussière. Sans trop savoir pourquoi, alors qu’il n’a même pas de quoi payer son loyer, il l’achète. Accroché à son mur, les yeux du vieil homme sur le tableau ne cesse de le fixer. Ce visage l’obsède et hante ses nuits. Sa vie bascule au moment où le cadre du tableau se brise et révèle un trésor de pièces d’or. Le voilà au carrefour de sa vie : continuer à creuser inlassablement sa vie d’artiste ou jouir de cette richesse soudaine.





Mon avis :


Avec cette BD j'ai pris la direction de la Russie et plus précisément Saint-Pétersbourg. Je ne connais pas cette nouvelle de Gogol, alors je me suis lancée dans l'espoir de la découvrir. Malheureusement ce tome 1 s’arrête au moment clef de l'action ce que je trouve vraiment dommage! D'ailleurs l'album fait peut de page alors j'ai toujours beaucoup de mal a comprendre l'utilité de faire plusieurs tome quand on pourrait en faire qu'un seul.....

En tout cas les dessins sont plutôt bien réussi, la ville, le froid, la neige, on s'y croirait! Les visages sont peut-être un peu brouillon (dit celle qui ne sait pas dessiner...) mais dans l'ensemble le trait m'a plu.

Enfin je trouve l'idée d'adapter des classiques vraiment intéressante. J'adore découvrir les classiques mais pour ceux qui m'aiment pas, l’idée de la BD est vraiment superbe. C'est sans doute une manière plus abordable.

Je suis conquise même si je reste sur ma faim a cause de cette coupure. J'ai hâte en tout cas de lire ce deuxième tome pour enfin connaitre la suite et fin.....

lundi 30 décembre 2013

Noel livresque

Cette année pour noël, j'ai été particulièrement gâtée (sans doute que le père noël savait que j'avais été extrêmement sage pendant toute l’année ;) )
Tout d'abord une amie m'a envoyé ce livre que je ne connais pas du tout mais que j'ai hâte de découvrir.....


Ensuite Julie (Biblio87 sur livraddict) m'a gâté pour noël. Voici les paquets : 


Une fois tout déballé, vous pouvez voir rien que 7 livres :


Bien sur il y avait aussi des gourmandises, un tres beau marque page, un stylo et un tres beau carnet : 
  Et pour finir la carte que j'adore : 

Ensuite avec les copines, on s'est organisé un swap de noël avec un père noël surprise qui devait nous gâter et le destin a voulu que ce soit.... Encore Julie lol

A l'ouverture du colis j'ai découvert deux paquets : 

Un tres beau plaid polaire, j'adore avec un plaid pour lire dans le canapé pendant l'hiver, donc excellent choix!

Une tres belle boite vintage comme je les aime : 


Et a l’intérieur encore des cadeaux : 

Un gel douche le petit olivier, j'adore cette marque (que malheureusement je ne trouve pas en Irlande), du chocolat et un livre de ma wish list!

Donc un énorme merci a Julie pour ces deux colis magnifiques!
Plus les livres que j'ai reçu par mon fiancé, ma famille et belle famille, j'en suis a 25 livres! Je suis vraiment heureuse!

Holmes (1854/1891?), Livre 1 : L'Adieu à Baker Street

Résumé :


4 mai 1891. Sherlock Holmes disparaît en Suisse aux Chutes de Reichenbach, entraînant avec lui dans la mort son plus grand ennemi, le professeur Moriarty.
Quelques jours plus tard, l’appartement du détective au 221 b Baker Street est mis à sac par des hommes de main envoyés par Mycroft Holmes, le propre frère de Sherlock. Mycroft tente ainsi
de détruire toutes les preuves de la folie de son frère, qu’il accuse de s’être abandonné à la cocaïne.
Pour lui, la mort de Holmes est le suicide déguisé d’un homme qui ne pouvait se résoudre à voir son cerveau détruit par la drogue.
Malgré les preuves apportées par Mycroft Holmes, le docteur Watson se refuse à croire cette version des faits. Il se lance à travers toute l’Europe dans une incroyable enquête qui va tout lui révéler de l’histoire de Sherlock Holmes et de sa famille.

Mon avis :


Adorant le célèbre Sherlock Holmes, j'ai pris beaucoup de plaisir a lire cette BD. Elle débute avec la mort du détective qui nous est raconté par Watson. Il va rencontrer différents personnages qui ont tous une version différente de cette mort. Il n'y a eu aucun témoin, donc toutes les hypothèses sont possibles....

Cet album est en tout les cas un véritable bijou. Notamment pour les dessins, tous en noir et blanc mais avec de très beaux contrastes. Les visages, les tenues d’époque ainsi que les lieux sont vraiment très réussis.

L'intrigue est digne d'un très bon Conan Doyle et constitue une très bonne suite qui ne dénature en rien l’héritage laissé par l'auteur.

Les fans de Sherlock Holmes devrait se régaler et pour autres aussi. On ne peut reprocher qu'une chose a cette BD c'est qu'elle est bien trop courte!

vendredi 27 décembre 2013

Aya de Yopougon, tome 1

Résumé : 


«Dans les années 1970, la vie était douce en Côte d'Ivoire. Il y avait du travail, les hôpitaux étaient équipés et l'école était obligatoire. J'ai eu la chance de connaître cette époque insouciante, où les jeunes n'avaient pas à choisir leur camp trop vite, et ne se préoccupaient que de la vie courante : les études, les parents, les amours... Et c'est cela que je veux raconter dans Aya, cette Afrique qui subsiste malgré tout car, comme on dit chez nous, «la vie continue»...» (Marguerite Abouet).

Mon avis :


Aya de Yopougon est un titre que je voulais lire depuis un petit moment alors quand j'ai vu qu'il était disponible chez Folio, j'ai foncé. Je ne peux que saluer l'initiative de publier des BD en format poche (très pratique puisque l'on peut glisser son exemplaire partout notamment dans le sac a main.) et surtout a petit prix! Les BD sont souvent très chères, je sais qu'il y a le travail du dessinateur et  puis l'impression mais quand même, je trouve dommage que les BD ne soient pas accessibles a tous. Alors merci Folio.

J'ai beaucoup aimé voyager en Cote d'Ivoire le temps du récit. J'ai beaucoup ri a certains passages. C'est un pays très contrasté entre tradition et modernité.

Je me suis demandée pendant toute ma lecture comment cette BD allait se terminer et je ne suis vraiment pas déçue par la chute. Je pense que c'est le passage que j'ai préféré.

Les personnages sont vraiment tous très différents et en même temps tous attachants et on se prend vite au jeu de savoir ce qu'il va leur arriver.

Par contre j'ai un petit quelque chose qui m'a dérangé : les transitions. On passe d'un personnage a un autre. Sur une page il fait jour et l'on est avec un premier personnage et puis on tourne la page et la il fait nuit et c'est une autre personne avec une autre histoire. C'est un peu perturbant et dommage car a mon gout ça gâche un peu la lecture.

Par contre le petit plus c'est le cahier bonus de la fin. Un lexique avec des mots pour apprendre le dialecte de la-bas, des recettes de cuisine.... Ce bonus est vraiment très réussi, il mari a merveille le coté information sur le pays et l'humour présent dans l'histoire.

Bref, je vous recommande cette lecture et il me tarde de voir l'adaptation qui en a été faite.

lundi 23 décembre 2013

La trilogie marseillaise : Marius, Fanny, César

Résumé :


Je ne savais pas que j'aimais Marseille, ville de marchands, de courtiers et de transitaires. Le Vieux-Port me paraissait sale - et il l'était; quant au pittoresque des vieux quartiers, il ne m'avait guère touché jusque-là, et le charme des petites rues encombrées de détritus m'avait toujours échappé. Mais l'absence souvent nous révèle nos amours... C'est après quatre ans de vie parisienne que je fis cette découverte: de temps à autre je voyais dans mes rêves le peuple joyeux des pêcheurs et des poissonnières, les hommes de la douane sur les quais, derrière des grilles, et les peseurs-jurés, dont Sherlock Holmes eût aisément identifié le cadavre, car ils ont une main brune, celle qui tient le crayon, et l'autre blanche, parce qu'elle est toujours à l'ombre, sous le carnet grand ouvert... Alors je retrouvai l'odeur des profonds magasins où l'on voit dans l'ombre des rouleaux de cordages, des voiles pliées sur des étagères et de grosses lanternes de cuivre suspendues au plafond; je revis les petits bars ombreux le long des quais, les fraîches Marseillaises aux éventaires de coquillages. Alors, avec beaucoup d'amitié, je commençai à écrire l'histoire de Marius...

Mon avis :


Dénicher des livres français dans les charity shop de ma ville en Irlande me réserve toujours de bonnes surprises. Les questions qui me viennent a l'esprit sont toujours les mêmes : quelle est leur histoire? comment sont-ils arrivés ici? Combien de personnes ont pu l'avoir entres les mains? Je crois sincèrement que si ce livre pouvait parler, il aurait beaucoup a raconter...

Je découvre la plume de Marcel Pagnol avec ce livre. En étant petite, j'avais bien entendu vu "la gloire de mon père" et "le château de ma mère" facilement 5 fois mais je n'avais encore jamais lu aucun de ses ouvrages. Ces trois pièces de théâtre m'ont vraiment ravi.

Marius est sans doute la pièce qui m'a le plus plu. On découvre les personnages, et on se sent immédiatement transportée dans le midi. J'avais l'impression d'entendre les voix aux accents chantant et aux expressions typiques comme devenir fada par exemple.
Tous les personnages sont attachants : Marius, qui rêve de liberté et de voyage, Fanny cette jeune fille qui veut se montrer forte mais qui finalement est encore très jeune, César, le vieil ours bourru mais qui adore son fils.....
Bref cette pièce est vraiment drôle, elle est pleine de quiproquos, de retournements de situation et est vraiment très bien construite.

Fanny est la pièce qui m'a plu un peu moins. Il y a beaucoup moins d'actions et tout tourne autour de la jeune fille qui découvre qu'elle est enceinte et n'a d'autres solutions que d’épouser Panisse. J'ai eu l'impression que le ton était plus grave, ici beaucoup moins de plaisanteries (sauf peut-être la scène ou Panisse escroque un client en lui vendant un bateau qui chavire sans cesse)

Enfin César, ou Césario apprend la vérité sur ses origines et Panisse meurt. On pourrait penser ici a une pièce tragique et bien non il n'en est rien. La scène de la confession avec le curé est vraiment très drôle ainsi que les quiproquos quand Césario part retrouver son père et qu'il ment a sa mère.

Le temps de ces trois pièces j'ai voyagé dans Marseille, au rythme des accents, des parties de cartes ou de boules et du pastis. Ce livre m'a apporté un peu de chaleur (qui est la bienvenue ici en Irlande en plein mois de décembre). Et surtout tous les personnages m'ont beaucoup plu et j'ai vraiment beaucoup aimé les suivre sur plusieurs années. Si vous n'avez pas encore lu ce grand classique, foncez, vous ne serez pas déçus.

lundi 16 décembre 2013

L'Extravagant Voyage du jeune et prodigieux T. S. Spivet

Résumé :


T.S. Spivet est un enfant prodige de douze ans, passionné par la cartographie et les illustrations scientifiques.
Un jour, il reçoit un appel inattendu du musée Smithsonian lui annonçant qu'il a reçu le très prestigieux prix Baird et qu'il est invité à venir faire un discours. A l'insu de tous, il décide alors de traverser les États-Unis dans un train de marchandises pour rejoindre Washington DC... Mais là-bas personne ne se doute qu'il n'est qu'un enfant.
Muni d'un télescope, de quatre compas et des Mémoires de son arrière-arrière-grand-mère, T.S. entreprend un voyage initiatique qui lui permettra peut-être enfin de comprendre comment marche le monde...
Notes, cartes et dessins se mêlent au récit avec un humour et une fantaisie irrésistibles.

Mon avis :


Je remercie infiniment Babelio ainsi que les éditions NiL pour ce partenariat.
J'ai repéré ce livre en librairie ainsi que dans les médias (avec un titre comme celui-ci difficile de passer a coté) sans jamais vraiment y prêter attention. Et puis dernièrement, je suis tombée par hasard sur la bande annonce du film de Jean-Pierre Jeunet et j'ai eu envie de découvrir le livre.

Sitôt reçu, j'ai été émerveillé par l’intérieur du roman : la qualité du papier, un format inhabituel, des annotations dans la marge, des dessins/croquis..... Bref un vrai régal pour les yeux.

T.S. Spivet est un personnage hors du commun, un petit prodige de 12 ans, on n'en croise pas tous les jours. Son univers est passionnant, il connait des tas de choses, c'est un petit génie mais en même temps il garde son âme d'enfant et sa naïveté. Bon je dois quand même avouer qu'il y a des moments ou il m'a un peu énervé car il a une telle connaissance que parfois j'avais du mal a le suivre. Il passe tres souvent du sujet a l'autre pour revenir au premier... Bref c'est un narrateur pas des plus facile.

L'auteur ici m'impressionne. Comment peut-on avoir l'idée d'un tel roman?.... En tout cas, son écriture est vraiment très agréable et pour un premier roman il a mis la barre très haute.

J'ai beaucoup aimé le voyage au États-Unis surtout que je rentre tout juste de New-York et le matin de la masse critique,  j'ai coché ce livre, j'ai pris ma valise et hop j’étais dans le bus pour l’aéroport.

J'ai juste une critique a faire a ce livre : je l'ai trouvé lourd par moment. Trop de détails, trop d'annotations, trop de précisions. C'est difficile de juger ça car l'auteur a fait un travail remarquable et il y a sans doute derrière ce roman des années de travail mais pour moi qui aime me détente après une journée de travail, il y avait des moments j'avais juste envie de facilité, de fluidité et ou j'avais l'impression de ne  pas avancer.

Vous l’aurez compris ce roman est un petit bijoux, on est a 9 jours de Noël, il est encore temps de courir dans la librairie la plus proche pour l'offrir a vos proche.

dimanche 15 décembre 2013

Hollow, tome 1

Résumé :


Lorsque Kristen disparaît dans d'étranges circonstances, Abbey refuse d'admettre la perte de son amie. La jeune fille rencontre alors un mystérieux garçon au cimetière de Sleepy Hollow, qui pourrait l'aider à faire son deuil... Mais la découverte d'un journal intime bouleverse toutes ses certitudes.

Mon avis :


Hollow n'est pas vraiment le genre de lecture qui m'attire normalement mais le cimetière de Sleepy Hollow au nord de Boston est un endroit que je souhaite vraiment voir un jour. C'est la bas que repose un grand nombre d’écrivains connus et reconnus. C'est aussi de la qu'Irving Washington s'inspire pour sa célèbre histoire du cavalier sans tête.

C'est donc sur cette base que je me suis lancée dans ce premier tome. Honnêtement, on ne peux pas dire que ce soit un grand livre qui marquera l'histoire : le début est long, l’héroïne est une adolescente a la vie plutôt banale (elle va au lycée, elle tombe amoureuse d'un garçon, ses parents l’énerve.... bref elle est plutôt fade)..... Mais malgré ça, on est happé par le récit et j'avais vraiment envie de connaitre la fin. Je ne vais pas trop vous en parler pour ne pas dévoiler l'intrigue mais la révélation sur Caspian est vraiment prévisible!

Par contre j'ai beaucoup aimé la seconde sur le couple, gardien du cimetière. Jessica Verday revisite la légende est je trouve qu'elle fait ça bien. Elle respecte très bien l'histoire du cavalier sans tête changeant juste quelques détails.

Ce qui me déçoit c'est qu'avec ses révélations on en oublie complétement Kristen.... Et on a aucune réponses aux questions que l'on peut se poser sur sa mort.... Peut-être que l'auteur nous réserve ça pour les prochains tomes mais en lisant les résumés des quatrièmes de couverture des deux tomes suivants, j'ai l'impression qu'on s'oriente plus sur une romance entre Abbey et Caspian car le nom de Kristen n'y apparait plus... Et qui est ce mystérieux D. ça personne ne le sait. Bref je reste sur ma fin.

Je reste quand même un peu indulgente car il s'agit ici d'un premier tome d'une saga, il faut donc laisser un peu de temps a l'auteure pour installer son intrigue et mettre en place l'action. En tout cas la narration m'a beaucoup fait penser a twilight. Désolée pour cette comparaison qui est peut-être mal choisie mais comme je disais plus haut ce genre de roman n'est généralement pas ce que je lis d'habitude et je suis peu experte en la matière. J'ai donc pensé a Twilight et a son premier tome ou l'on passe beaucoup de temps a découvrir la vie plutôt banale de l'adolescente (Bella) et son amourette avec le vampire avant que les éléments fantastiques arrivent dans le récit vers le dernier tiers du roman. Ici c'est la même construction. 

Je vous le recommande si vous aimez les romances ou la littérature fantastique ou simplement si vous voulez lire un roman léger et sans prise de tête. Je lirai peut-être la suite par curiosité en espérant cette fois avoir des réponses plus concrètes a mes questions.

mercredi 11 décembre 2013

Les larmes de Freyja

Résumé :


Ces histoires furent contées à la cour de Halfdan III le Noir, roi du Vestfold, par un scalde nommé Bjarni Olofsson.

La lyre de Bjarni s’est éteinte depuis longtemps, mais quand souffle le vent du Nord, tendez bien l’oreille : il vous emmènera dans les neuf mondes où vivent les dieux, les humains, les créatures étranges, l’aventure, la magie, l’amour et, parfois, l’humour. Alors frémiront pour vous les feuilles immémoriales d’Yggdrasil, le frêne cosmique.

Écoutez…

Écoutez l’histoire de Freyja qui, pour le plus beau des bijoux, dut payer le prix des larmes.

Mon avis :


Tout d'abord je tiens a remercier Livraddict et les éditions Flammèche pour l'envoi de cette nouvelle numérique.

Mon avis est assez partagé car je ne m'attendais pas du tout a ça quand j'ai débuté ma lecture. Je m'explique : avec le résumé je pensais lire un conte envoutant tel les mille et une nuits et c'est finalement en Norvège au cœur de la mythologie que j'ai atterri. Imaginez ma surprise!

L’écriture de Pierre Efratas est en tout cas très agréable et il se révèle être un très bon conteur. Il s'adresse directement a nous lecteur et l'on a l'impression qu'il nous susurre l'histoire.

J'aime beaucoup les nouvelles, je trouve que c'est un exercice très intéressant mais ici je pense qu'un roman aurait été plus adapté pour approfondir certaines scènes. Ici j'ai eu l'impression de survoler certains passages de ne jamais aller en profondeur des choses. J'aurai aimé avoir plus de détails, sur les personnages pour mieux les connaitre, des détails sur la Norvège et ses paysages (ça doit être un pays magnifique, propice au voyage a travers les lignes mais la rien du tout...)

Freyja est un personnage que j'ai détesté a chaque moment de ma lecture. Elle est fière, manipulatrice, séductrice (et pas seulement puisqu'elle n’hésite pas a offrir ses charmes pour arriver a ses fins... Heureusement l'auteur nous épargne les détails, notamment avec les quatre nains...)
Mais en même temps je l'ai trouvé très touchante en compagnie de son amant, Fergill, qu'elle aime passionnément.

En tout cas cette nouvelle, aura quand même eu un point très positive : celui de me faire découvrir la mythologie scandinave que je ne connaissais absolument pas. Cela m'a rappelé quelques souvenirs de l’époque ou a l’école on apprenait la mythologie gréco-romaine. Et je suis sur que les amateurs de mythologie qui se cachent en vous seront ravie de découvrir cette très bonne nouvelle.


vendredi 6 décembre 2013

Le grand soir

Résumé :


Illustre et décrié, vieillissant et proscrit, Gustave Courbet croise un soir à Genève une prostituée, Mona, en qui il croit reconnaître une amante de jadis, la belle Jo - celle qui donna naissance à L'Origine du monde, l'œuvre maîtresse de sa peinture...
Mona n'est pas Jo, mais qu'importe : ivre d'amertume et de solitude, devant cette femme de hasard, le temps d'une nuit Gustave Courbet se raconte, laisse déferler ses utopies et ses désillusions, sa colère et sa honte, son égoïsme, ses échecs, la tempête de ses passions. Car il aura mis à peindre, à jouir ou à lutter, toute la puissance de sa nature, toute la véhémence de sa révolte - lui, l'artiste libertaire, l'ami du peuple, le communard - compagnon de Proudhon, camarade de Vallès...
Mona l'écoute, soudain se cabre - la Commune de Paris ? Pour l'avoir vécue, elle a beaucoup à en dire. N'y a-t-elle pas perdu son père et ses frères ?

Mon avis :


Je suis bien embêtée pour rédiger cette critique car mon avis est vraiment mitigé. Je ne dis pas qu'il s'agit la d'un mauvais livre bien au contraire mais je suis passée totalement a coté.

L’écriture de l'auteur est complexe : tantôt  des phrases longues avec beaucoup de ponctuation tantôt des phrases très courtes. Un vocabulaire très familier ou argotique qui colle parfaitement avec le personnage mais qui ont vraiment compliqué ma lecture.

Et puis des souvenirs du peintre qui se mélangent et que j'avais beaucoup de mal a resituer dans le temps. Encore une fois je précise que ce n'est que mon avis et que j'ai sans doute appréhendé ce livre dans une mauvaise période : début d'un nouveau travail avec horaire décalé, grosse fatigue....

Je vous le recommande quand même rien que pour découvrir un peu plus ce fabuleux peintre.

Harry Potter tome 5 : Harry Potter et l'ordre du phénix

Résumé :


A quinze ans, Harry s'apprête à entrer en cinquième année à Poudlard. Et s'il est heureux de retrouver le monde des sorciers, il n'a jamais été aussi anxieux. L'adolescence, la perspective des examens importants en fin d'année et ces étranges cauchemars... Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour et, plus que jamais, Harry sent peser sur lui une terrible menace. Une menace que le ministère de la Magie ne semble pas prendre au sérieux, contrairement à Dumbledore. Poudlard devient alors le terrain d'une véritable lutte de pouvoir. La résistance s'organise autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours..

Mon avis :


Depuis deux semaines, j'ai souffert d'un mal que beaucoup d'entre vous ont deja connue : la panne de lecture. Pas de motivation, pas envie de lire la moindre ligne, bref il fallait remédier a ça au plus vite. J'ai donc sortie le tome 5 d'Harry Potter. Précédemment j'avais relu les quatre premiers tomes dans le but de découvrir le 5, 6 et 7eme. Harry potter est une lecture facile puisqu'il s'agit d'un livre jeunesse avec du suspense que j’espérais accrocheur pour me sortir de mon état et me redonner le gout de la lecture.
Eh bien mission réussie. Ce tome cinq en plus et de loin mon préféré!

Ici, l'ambiance est plus noire, on quitte un peu l'univers jeunesse, nos trois héros ont maintenant 15 ans. J K Rowlink ménage donc un peu moins ses lecteurs et nous livre ici un suspense jusqu’à la dernière page. Conspiration, Ordre secret, manipulations tout est très bien réussi.

Un personnage m'intrigue toujours autant : Rogue que j'adore. Oui bon je sais pas mal le déteste mais je le trouve juste parfait. C'est un personnage complexe, ambiguë, difficile a cerner, prêchant le faux pour savoir le vrai. De plus l'auteure nous en apprend que très peu a chaque fois, chaque livre nous livrant quelque détails mais pas suffisamment pour se faire une idée.

Harry m'a aussi beaucoup plu. J'ai lu pas mal de critiques qui disaient qu'il était énervant dans ce tome. Au contraire, il commence enfin a s'affirmer, a prendre lui même des décisions, a ne plus se faire marcher sur le pied. Alors oui il râle beaucoup, oui il est parfois injuste avec ses amis mais ça le rend un peu plus humain.

J'ai aimé aussi avoir plus de détails sur Neville, il ne faisait que de rares apparitions ou il était question de ses maladresses hors ici, il prend une vraie place et lui aussi s'affirme et c'est tant mieux.
J'ai trouvé chouette aussi de visiter au travers des lignes du livres, le ministère de la magie ou encore l’hôpital Ste Mangouste.

Bref je suis conquise par cette lecture qui m'a enchanté et soigné en même temps et il me tarde de découvrir les deux derniers tomes.

vendredi 29 novembre 2013

La fée des glaces

Résumé :


Un an après son deuxième voyage au Royaume des Ombres, loin des dangers et des amis qu'il y a connus, Malo profite de ses vacances au ski chez sa tante paternelle. Mais le comportement étrange de celle-ci et les questions qu'elle lui pose sur son « expérience » au Royaume des Ombres ne tardent pas à éveiller sa curiosité et... sa méfiance. Sa tante aurait-elle un lien avec le monde imaginaire et avec cette Fée des glaces dont on lui parle tant ? Dans le secret des montagnes, Malo découvrira que les frontières entre le monde réel et le Royaume des Ombres sont plus ténues qu'il y paraît et que ses amis Septimus, Lili ou le chat Mercator pourraient bien avoir besoin de lui...

Mon avis :


Tout d'abord : un grand merci a Livraddict et aux éditions Michel Lafon pour ce partenariat. J'ai toujours adoré Maxence Fermine et j'ai a nouveau eu un gros coup de cœur pour ce livre.
J'avais beaucoup aimé le premier tome "La petite marchande de rêves", je n'ai malheureusement pas encore lu le deuxième tome "La poupée de porcelaine" mais ce troisième tome m'a encore plus plu que le premier. Il est vraiment a la hauteur de mes attentes.

J'ai trouvé l'intrigue plus simple donc plus efficace. Dans le premier tome, j'avais eu l'impression que l'intrigue était un peu confuse par moment. Hors ici, on sait ou on va et c'est un régal pour le lecteur.
Le personnage de Malo est toujours aussi attendrissant et j'ai bien aimé son évolution au travers des livres. On le sent plus adolescent maintenant.

L’écriture de Maxence Fermine est toujours aussi parfaite, riche en détails, en couleurs, en comparaisons....
"- Quelles sont-elles, ces fleurs de toutes les couleurs?
Léa , ravie qu'on l’interroge sur un sujet qu'elle maitrisait a merveille, répondit en comptant sur ces doigts :
- Il y a le jaune d'or de l'Arnica, les clochettes violettes et tintinnabulantes de la campanule barbue, la chevelure rose ébouriffé du chardon décapité, la belle couleur bleue de la gentiane printanière, les hautes-tiges vertes et jaunes de la molène bouillon-blanc, le rouge feu du rhododendron ferrugineux, le corail de la joubarbe des montagnes, le bleu violacé de l'aster des Alpes, sans oublier la blancheur immaculée de l'edelweiss...
"
L’écriture est tellement agréable que j’aurai aimé quelques pages de plus.

En tout cas, en plus de la plume de l'auteur, j'ai vraiment adoré le personnage de "Tante Urticaire" qui est vraiment très drôle et qui nous réserve bien des surprises!

Tout au long du récit, l'auteur glisse des éléments des précédentes aventures de Malo, je n'ai donc pas était perdue mais au contraire, je suis très tentée par ce deuxième tome d'autant que j'ai appris au fil des pages que l'action se déroulait dans une ville que je rêve de visiter : Édimbourg.

Coté illustrations, j'ai était conquise aussi car elles sont magnifiques mais j'ai trouvé qu'il y en avait peu... J'aurai aimé en retrouvé davantage car dans mon souvenir le tome 1 en contenait plus.

Enfin c'est une très belle leçon de vie que l'on retrouve ici a l'instar des contes de fée classique. La morale de l'histoire nous apprend a ne pas se fier aux apparences (avec tante urticaire notamment) ou encore que tout est possible a condition de la vouloir vraiment et de se donner la peine d'essayer!

Un vrai coup de cœur donc que je vous recommande rien que pour découvrir la plume de Maxence Fermine et puis cette intrigue plaira aux petits comme aux grands c'est certain.

mardi 19 novembre 2013

Amarachi privé, tome 1 : Whisky Vaudou

Résumé :


Wilson Amarachi. Ce détective au goût prononcé pour la dive bouteille est un privé, pas comme les autres, n’hésitant pas à se mouiller pour résoudre les affaires délicates que d’autres n’ont pu mener à leur terme. Des meurtres inexpliqués au sein d’une sombre histoire de vaudou, voici le premier épisode de notre nouvelle saga : Amarachi Privé.
Cette histoire va confronter notre héros à ses limites en tant qu’enquêteur, mais aussi en tant qu’homme.
Mais saura-t-il faire face aux nombreux retournements qui l’attendent ? C’est ce que vous découvrirez dans ce polar sombre et sans concessions.

Mon avis :


Ce week-end, j'ai découvert un recueil de nouvelles publié par Booxmaker. La première était écrite par Tom Khéfif est m'avait bien plu. Poussée par la curiosité, j'ai téléchargé Whisky Vaudou, 1ere enquête du détective Amarachi et je suis vraiment conquise.

Wilson Amarachi est un personnage fort que j'ai beaucoup apprécié. Avec son franc-parler, son penchant pour le whisky (qui lui a sacrement joué des tours ici) et sa manière d’enquêter.

D'autant qu'il n’hésite pas a nous faire des confidences des les premières lignes:
"J'ai toujours eu un bon sens de l'observation, aussi loin que je me souvienne. Déjà, quand j’étais gamin, je retenais tout. De la coupe de cheveux changée de quelqu'un, au regard raciste de la maitresse lorsqu'elle s'adressait a moi, en passant par tous les objets présents dans une pièce ou je ne m’étais trouvé que quelques minutes. C'est peut-être pour ce qui m'a poussé a devenir détective ? Non, faut pas se voiler la face comme ça... Ce qui m'a réellement amené vers ce métier, c'est ma femme. J’étais un simple gardien de laboratoire au moment ou j'ai commencé a avoir de sérieux doutes sur sa fidélité. Alors, je l'ai filé. Tout d'abord un soir, puis deux, puis toute la semaine. Bien sur, j'avais recueilli toutes les preuves qu'il me fallait des le premier jour, mais je trouvais ça tellement excitant. Le divorce a suivi peu de temps après et j'en ai profit e pour me reconvertir.
Je m'appelle Wilson Amarachi et je suis détective privé. "


L'intrigue est vraiment très bien menée et vraiment prenante. Il s'agit ici d'une nouvelle d'un peu moins de 30 pages, du coup pas de répit pour le lecteur, les éléments s'enchainent très vite et le suspense est belle et bien au rendez-vous.

Et puis, je ne peux vous parlez de l'ambiance de cette nouvelle. Je décolle pour New-York dans deux jours et j'ai de suite été transporté sur le sol américain. Tout y est, l'habitude des américains a prendre le taxi, la violence et le racisme entre blancs et noirs, la police américaine (et leur habitude de cow-boy), ou encore les exécutions et les condamnations a mort (avec bien sur la possibilité d'y assister ce qui m'a toujours paru tellement horrible!). Bon bien sur on est bien loin de ce que je vais voir a New-York puisque j'y vais pour le tourisme mais j'ai vraiment aimé cette ambiance juste avant mon voyage.

Amateurs de bon policier ou polar, je vous conseille vraiment cette nouvelle qui je suis sur vous plaira!

lundi 18 novembre 2013

Rien n'est trop beau

Résumé :


New York, début des années 1950. Elles sont jeunes et Manhattan leur tend les bras ...

Lorsqu’il fut publié en 1958, le premier roman de Rona Jaffe provoqua l’engouement de millions de lectrices américaines. Elles s’identifièrent immédiatement à ses personnages, de jeunes secrétaires venues d’horizons différents employées dans une grande maison d’édition new-yorkaise. Leurs rêves et leurs doutes reflétaient ceux de toute une génération de femmes.

Il y a la brillante Caroline, dont l’ambition est de quitter la salle des dactylos pour occuper un poste éditorial. Mary Agnes, une collègue obnubilée par les préparatifs de son mariage. La naïve April, jeune provinciale du Colorado venue à New York pour faire carrière dans la chanson.

Si la ville semble leur offrir d’infinies possibilités professionnelles et amoureuses, chacune doit se battre avec ses armes pour se faire une place dans un monde d’hommes.

Mon avis :


Avec Rien n'est trop beau vous êtes assurés de passer un bon moment mais je suis loin du coup de cœur auquel je m'attendais. Peut-être qu'a force d'avoir envie de lire et d’espérer, j'ai finalement été un peu déçue quand je l'ai enfin eu dans les mains. Je pense qu'il y a un peu de ça mais pas seulement.

J'ai beaucoup aimé l'ambiance année 50 a New-York ou l'on suit le quotidien de quelques femmes, toute d'horizons différents. Les personnages féminins sont attachants et l’écriture est agréable et fluide. Malgré ça j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de longueur, le récit n'avance pas et les situations sont souvent prévisibles.

Rien n'est trop beau est sans doute un très bon roman de plage, léger et sans "prise de tête" mais je ne pense pas que ce soit le genre de romans qui laisse un souvenir impérissable! C'est donc un avis en demi-teinte, je ne regrette pas de l'avoir lu mais je ne le recommanderai pas....

dimanche 17 novembre 2013

Des visages


Résumé :


Cette histoire commence par un coup de téléphone :  ? Allo ? Booxmaker ? Dites donc, quand est-ce que vous nous faites un gratuit ?  Se poursuit par une question :  ? C'est vrai ça ! On attend quoi ?  Et se finit par le recueil que nous vous proposons aujourd'hui ! Nous avons pris cela comme un défi. Défi que nous avons aimablement passé à plusieurs de nos auteurs.  ? Alors voilà, l'idée est simple. Je vous donne un titre et carte blanche pour me pondre une nouvelle !  ? OK, c'est quoi le titre ?  ? Des visages...  ? ???  Et puis...  ? Et si on en faisait autant avec le graphiste ?  ? J'achète !   Le résultat en est un recueil de six nouvelles, faites par des auteurs talentueux et qui ont accepté avec force vigueur ce défi. Six histoires étranges, sincères et persistantes, au point de vous faire travailler les méninges jusque dans vos nuits sans lune. Six facettes d'un titre qui nous est venu par hasard... ou presque !


Mon avis :


Voici une lecture numérique que j'ai vraiment bien apprécié. Booxmaker est une maison d'édition qui propose des livres numériques. Avec "Des visages", elle rassemble six nouvelles écrites par 6 auteurs différents. Une seule exigence et un point de départ commun : le mot visage. Et cela donne un résultat vraiment très intéressant et vraiment des nouvelles complétement différentes des unes des autres.

J'aime beaucoup les nouvelles car je trouve que c'est un exercice difficile pour un auteur : écrire de manière concise mais en donnant assez d’éléments aux lecteurs et surtout ce qui me plait c'est toujours la chute. Plus elle est surprenante meilleur c'est!

Le recueil commence par A coup de Bistouri de Tom Khéfif. L'auteur signe ici une nouvelle très noire au suspense digne d'un grand thriller. Je ne connaissais absolument pas ce détective Wilson Amarachi, qui intervient ici en personnage secondaire mais j'ai vraiment envie de le découvrir. L'intrigue est intéressante et pour le moins originale, la chirurgie esthétique est encore assez tabou malgré que ce soit un marché en pleine croissance. Ici le personnage principal est un chirurgien peu scrupuleux puisqu'il opère des enfants ou adolescents. Un tueur en série semble s'attaquait a ses patients, voila le point de départ d'une enquête très intéressante. J'ai beaucoup apprécié l'ambiance : la nuit, les rues de Chicago, la violence et les gangs. C'est très éloigné de ce que je peux lire d'habitude et j'ai été agréablement surprise.

Ensuite vient Le visage de la reine de Jean-Pierre Balpe. Cette nouvelle est intéressante et très bien écrite mais je suis restée dans le floue car elle donne vraiment trop peu de détail. C'est l'histoire d'une reine qui se meurt et tout son royaume et ses sujets en sont déboussolés. J'ai adoré la chute de cette nouvelle qui est inattendu mais en même temps tellement pleine de vérité.

Puis Guillaume Jacquet intervient avec Émiettements. Dans un premier temps j'ai eu beaucoup de mal a rentrer dans cette nouvelle. Le vocabulaire est tellement différent de ce qui précède. Ici les mots sont rudes, la langue tranchante et acérée. L'auteur se confie a nous a la première personne. Mais j'ai finalement été conquise par l'humour de l'auteur et je ne peux m’empêcher de vous glisser ici une citation qui m'a fait tellement rire :
Non "Émiettements", c'est bien, et ça me fait penser a "Miettes", le livre de Loana. J'aime beaucoup cette artiste. Elle était chanteuse, hein, c'est ça ? Elle aussi, elle doit aimer Adamo. Ils n'ont pas couché ensemble, d'ailleurs ? 
Elle a un peu disparu de la circulation, Loana, aujourd'hui.

Attendez... Elle n’était pas sportive, plutôt ? Oui, c'est cela, j'avais oublié, c’était une athlète. Mais dans quel domaine? Il y avait un rapport avec la piscine... Elle avait du briller en quatre cents-metres nage libre ou bien en natation synchronisée...  

C'est Raphaël Nomézine qui prend le relai avec On ne meurt que deux fois (memory). C'est une nouvelle remarquable triste et touchante. On suit le quotidien d'une femme, chanteuse, qui sombre peu a peu. L’écriture est belle et mélancolique. Une belle découverte et une belle surprise.

Avant dernière nouvelle, L'homme aux cent visages de Paul A Garance. J'avais été conquise par La terre des Centaures et a nouveau je me suis laissée emporter par cette histoire. Bon elle fait un peu froid dans le dos, notamment certaines descriptions car ici aussi on a affaire a un tueur en série quelque peu sadique mais en même temps j'ai aimé comment sont traités les émotions. On sent beaucoup d'amour entre père et fille (ou fils sans vouloir dévoiler l'intrigue), beaucoup de regrets, d'amertumes... Un mélange des genres qui m'avait déjà beaucoup plu dans ma précédente lecture de l'auteur.

Enfin pour conclure Des visages de Lorenzo Mancini, qui ressemble plus a un essai. C'est un très beau texte mais que je n'ai pas su apprécier a sa juste valeur car il s’éloigne trop de ce que j'ai l'habitude de lire. De plus je viens tout juste de commencer un nouveau travail et étant très fatiguée j'avoue rechercher en ce moment des lectures plutôt légères. En tout cas, je suis certaine que de nombreux lecteurs tomberont sous le charme de cette nouvelle.

Voila donc un recueil que je vous invite a télécharger car il regorge de pépites qui ne demandent qu'a être lu. L'homme aux cents visages et On ne meurt que deux fois (memory) sont mes nouvelles favorites suivies de très près par A coup de Bistouri. C'est une thématique plutôt originale et je dois dire que les auteurs s'en tirent a merveille. Et puis je ne peux terminer cette critique que par remercier Booxmaker de proposer des titres gratuits a ses lecteurs. C'est une démarche que peu d’éditeurs font et elle ne peut qu’être saluée.

dimanche 10 novembre 2013

Les quatre filles du docteur March

Résumé :


Une année, avec ses joies et ses peines, de la vie de Meg, Jo, Beth et Amy March, quatre sœurs âgées de onze à seize ans. Leur père absent - la guerre de Sécession fait rage et il est aumônier dans l'armée nordiste -, elles aident leur mère à assumer les tâches quotidiennes. Ce qu'elles font avec leur caractère bien différent : Meg, la romantique, qui va éprouver les émois d'un premier amour ; Jo, qui ne se départit jamais d'un humour à toute épreuve ; la généreuse Beth ; la blonde Amy, enfin, qui se laisse aller parfois à une certaine vanité...

Mon avis :


Un classique de la littérature jeunesse que je découvre seulement maintenant a l'âge de 25 ans (vous savez ce que l'on dit : mieux faut tard que jamais...).
Louisa May Alcott nous plonge dans un épisode tragique qui a marqué l'histoire des États-Unis : la Guerre de Sécession. Alors rassurez vous ici, pas de scène de combat car l’auteure nous invite a entrer dans le foyer de Madame March (dont le mari est parti a la guerre) et de ses quatre filles très attachantes.
Au fil des chapitres on découvre leur vie et chacun d'entre eux fini par une "morale" ou devrais-je dire leçon de vie (comme ne pas envier les autres, partager avec les plus démunis, ne pas être égoïste, travailler dur...)
C'est un roman touchant et sincère qui ne peut qu’être un coup de cœur.
J'ai d'ailleurs profité de ce week-end pluvieux et gris pour visionner une des nombreuses adaptations cinématographique. Ne sachant pas laquelle était la meilleure, j'ai choisi la plus récente :  celle de 1994 signé par Gillian Armstrong et j'ai vraiment adoré et j'y ai retrouvé l'ambiance du roman.
Je vous conseille donc vraiment de lire ce roman si ce n'est pas encore fait et de voir le film qui est vraiment tres bon.

Le train de 16h50

Résumé :


Allant dans la même direction et presque à vitesse égale, les deux trains semblaient disputer un match.
Mrs McGillicuddy, pour se distraire, regardait les occupants qui s'offraient à sa vue, mais ce qu'elle vit lui arracha un petit cri. Debout, le dos tourné, un homme serrait la gorge d'une femme ; il l'étranglait. Le hasard voulu que le " 16 h 50 " ralentît et que le train " parallèle " le dépasse, disparaissant dans la nuit.

Mon avis :


C'est le film "le crime est notre affaire" avec la merveilleuse Catherine Frot et André Dussollier qui m'a donné envie de découvrir ce roman. Alors ici, on oublie les Beresford car c'est la célèbre Miss Marple qui mène l'enquête. C'est ma première rencontre avec ce personnage emblématique et je comprend pourquoi elle est tant appréciée.

Agatha Christie livre ici son roman avec brio, c'est un huis-clos au sein d'une famille ou tous semble coupable, enfin moi j'ai soupçonné en tous cas tous les personnages pour finalement ne jamais trouver le véritable coupable.

L'idée de départ est a saluer car vraiment originale. Une femme qui voyage en train et qui est témoin d'un meurtre qui se déroule dans le train qui circule a coté sur une autre voie mais évidemment personne ne veut la croire. Personne sauf Miss Marple....

mardi 5 novembre 2013

Lika aux cheveux longs

 Résumé :


Dans un mystérieux village vit Lika, une jeune fille aux magnifiques cheveux longs. Pour subvenir aux besoins de sa grand-mère, elle va tous les jours vendre ses pots-pourris aux passants. Mais l’inquiétant coiffeur du village ne cesse de lui proposer une forte somme d’argent en échange de sa belle chevelure. Que va‑t‑il se passer si Lika accepte ? C’est sans compter sur l’intervention d’un étrange et espiègle petit garçon…

Lika aux cheveux longs est une histoire émouvante qui n’est pas sans rappeler les grands classiques des frères Grimm, tels Raiponce ou Cendrillon. Inspiré, Yûji Kanno crée un conte moderne et fantastique, abordant avec sensibilité les rapports entre les humains et la difficulté de se confier à ses proches. Les personnages de Matayoshi sont quant à eux incroyablement émotionnants et d’une finesse graphique rare.
Une première œuvre raffinée pour ces jeunes auteurs japonais à suivre de près !

Mon avis :

Tout d'abord je tiens a remercier chaleureusement Babelio pour son opération masse critique et les éditions Nobi nobi pour l'envoi de ce très joli conte.
Nobi nobi est une jeune maison d’édition qui propose des livres jeunesse spécialisés sur le Japon. J’étais vraiment curieuse de découvrir une de leur publication car le Japon est un pays que je trouve fascinant et que je rêve de visiter.

A peine le livre arrivé par la poste, j'ai été scotché par la couverture. Elle ressemble en tout point au livre de mon enfance. Pas de couverture au papier glacé non ici c'est une couverture solide et un peu rugueuse au toucher. Le titre est écrit en lettre dorée qui brille et puis l'illustration sur cette couverture laisse présager une grande réussite pour la suite.

Et en effet, ma lecture terminée, je suis complétement conquise pour ce conte. Sur la quatrieme de couverture, on compare Lika aux cheveux longs a un conte de Grimm, je suis entièrement d'accord avec cela. Il y a tellement de magie dans ses pages que les petits adoreront cette histoire et les grands comme moi, retomberont assurément en enfance.

Il y a un vrai travail entre l'auteur qu'il faut saluer car le texte est magnifique et très bien tourné et l'illustratrice qui fait ici un travail remarquable. J'ai vu a la dernière page une courte biographie qui résume leur parcours et je constate qu'ils ont collaboré a d'autres projets ce qui me donne très envie d'en découvrir plus.

En tout cas, l'histoire de Lika est vraiment très belle. C'est une petite fille douce et attentive au bien être de sa grand-mère. Elle est déjà extrêmement mature pour son age et comprend énormément de choses d'adulte (le rapport a l'argent, le coiffeur dont elle se méfie car c'est une personne cupide...). Et puis comme tous les contes il y a la petite touche de magie avec ce petit garçon doit au final on sait peu de choses (mais le mystère est tellement plus agréable dans les contes).

Je n'ai qu'une déception en refermant ces pages, c'est que moi je ne possède pas de peigne comme dans cette histoire et qu'il va donc me falloir encore de longs mois avant d'avoir une belle et longue chevelure....

vendredi 1 novembre 2013

Danse Noire

Résumé :


Sur un lit d'hôpital, Milo s'éteint lentement. A son chevet, le réalisateur new-yorkais Paul Schwarz rêve d'un ultime projet commun : un film qu'ils écriraient ensemble à partir de l'incroyable parcours de Milo. Dans un grand mouvement musical pour chanter ses origines d'abord effacées puis peu à peu recomposées, ce film suivrait trois lignes de vie qui, traversant guerres et exils, invasions et résistances, nous plongeraient dans la tension insoluble entre le Vieux et le Nouveau Monde, le besoin de transmission et le rêve de recommencement. Du début du XXe siècle à nos jours, de l'Irlande au Canada, de la chambre sordide d'une prostituée indienne aux rythmes lancinants de la capoeira brésilienne, d'un hôpital catholique québecois aux soirées prestigieuses de New York, cette histoire d'amour et de renoncement est habitée d'un bout à l'autre par le bruissement des langues et l'engagement des cœurs. Film ou roman, roman d'un film, Danse noire est l’œuvre totale, libre et accomplie d'une romancière au sommet de son art.

Mon avis :


Je tiens tout d'abord a remercier Price Minister qui m'a adressé ce livre a l'occasion des match de la rentrée littéraire 2013. J'avoue être bien embêtée pour la rédaction de cette critique car je n'ai pas aimé le livre (et puisque je dois lui attribuer une note sur 20, je lui donnerai un 8).
Mon choix s’était porté sur ce roman car Nancy Huston est une auteure que je voulais découvrir depuis un moment alors après lecture de Danse Noire, je pense que c'est une bonne auteure mais que c'est juste pas mon style.

L'intrigue de départ est intéressante, Milo est entre la vie et la mort a l’hôpital. Paul, réalisateur de films est a ses cotes et imagine un long métrage retraçant la vie de Milo (et même un peu plus puisque ce roman se situe sur plusieurs générations durant tout le XXe siècle). Jusqu’à la je n'ai absolument rien a dire, car l'histoire en elle-même est intéressante. Mais ce qui m'a dérangé c'est la manière qu'a choisi Nancy Huston pour traiter le sujet et surtout je voudrais souligner trois points qui m'ont vraiment gâché ma lecture :
- Paul, le narrateur, raconte l'histoire a la facon d'un realisateur, il decrit les scènes façon cinéma avec la musique que l'on va y jouer, les décors et les "clap" de fin. J'ai trouvé cela d'une froideur incroyable, sans sentiment.... Pour moi il m'a été impossible de m'attacher aux personnages car il y a en trop. Et avec ce style "cinéma", les scènes (chapitres) s'enchainent sans lien réel.
- Ensuite le vocabulaire choisit est vraiment très (trop!) argotique, familier voir vulgaire. Peut-être que je suis coincée ou vielle fille mais pour moi ça ne passe pas.
- Et enfin trop de dialogue en anglais. Parfois deux pages sont écrites entièrement en dialogue dans la langue de Shakespeare et il faut se référer au bas de pages pour la traduction. Pourquoi ne pas avoir traduit directement? Je ne sais pas mais pour moi c'est un mauvais choix.

J'accorderai quand même un 8/20 car l'auteure a très bien documente son roman et arrive a nous transporter a différentes périodes. Bien sur, j'ai beaucoup apprécié les passages en Irlande puisque c'est aujourd'hui mon pays d'adoption.

La rentrée littéraire 2013 m'avait réservé de belles surprises, notamment avec le superbe roman de Patricia Reznikov, La transcendante publié chez Albin Michel ou encore en jeunesse Le pays des contes de Chris Colfer chez Michel Lafon  mais avec Danse Noire, je reste sur ma faim. J'en ressors extrêmement déçue.

jeudi 31 octobre 2013

Ma cousine Rachel

Résumé :


Philip, sans la connaître, déteste cette femme que son cousin Ambroise, avec lequel il a toujours vécu étroitement uni dans leur beau domaine de Cornouailles, a épousée soudainement pendant un séjour en Italie. Quand Ambroise lui écrira qu'il soupçonne sa femme de vouloir l'empoisonner, Philip le croira d'emblée. Ambroise mort, il jure de le venger. Sa cousine, cependant, n'a rien de la femme qu'imagine Philip. Il ne tarde pas à s'éprendre d'elle, à bâtir follement un plan d'avenir pour finir par buter sur une réalité de cauchemar. Ce don du suspense psychologique, que le nombreux public de la célèbre romancière anglaise lui reconnaît dans chacune de ses œuvres, est particulièrement présent dans Ma cousine Rachel.

Mon avis :


Décidément Daphné du Maurier ne cesse de me surprendre. Après avoir vraiment adoré Rebecca, Ma cousine Rachel est un second coup de cœur.

En même temps, je dois dire que les bases sont les mêmes : un manoir ou domaine en Angleterre, un narrateur jeune et naïf et un second personnage qui cache bien des secrets. Mixez le tout et vous obtiendrez un roman plein de suspense comme seule l'auteure sait les imaginer.
L’écriture est en plus très plaisante et donne une grande fluidité au roman.

Daphné du Maurier sait manier les mots et l'intrigue par petites touches pour emmener les lecteurs a des suspicions, sur des fausses pistes parfois. En tout cas, j'ai été surprise par la fin, je ne m'y attendais pas mais tout bien réfléchi, cela ne pouvait être autrement.

lundi 28 octobre 2013

Kiss,Kiss

Résumé :


Les histoires qu'invente Roald Dahl, on a envie, après les avoir lues, de courir les raconter à tout le monde. Comme si on les avait vécues ou révées soi-même. Au service de cette suite de situations plus ou moins macabres, Roald Dahl met une chatoyante érudition. Qu'il nous parle, juste le temps quil faut, de chirurgie, de meubles d'époque, d'apiculture, de musique, de métempsycose ou de braconnage, qu'il emprunte le style " cinéma " ou qu'il pastiche Voltaire, c'est toujours avec le même souci du détail, le même sérieux pince-sans-rire, le même humour noir déguisé.

Mon avis :


C'est lors de mon séjour en France que j'ai trouvé cette vieille édition de Kiss Kiss dans un emmaus. J'aime y dénicher de vieux livres et leur donner une seconde jeunesse. Alors après un bon nettoyage, et une couverture plastifiée pour la consolider, le voici tout propre.
Roald Dahl, je le connaissais pour ces romans jeunesses alors j’étais impatiente de découvrir ces nouvelles pour les adultes.

Kiss Kiss en compte onze, alors comme toujours dans un recueil de nouvelles on a toujours des préférences pour l'une ou pour l'autre mais ce que l'on peut remarquer ici c'est qu'elle sont toutes a égalité. Ce que je veux dire par-la, c'est qu'elles sont toutes très bien écrites, documentées (William et Mary pour les termes de chirurgie ou Gelée royale et toutes les informations sur les abeilles....).

La Logeuse est une de mes préférées, je l'ai étudié au lycée pendant mes cours d'anglais. On y sent la tension qui monte progressivement. J'ai beaucoup apprécié aussi Un beau dimanche et Madame Bixby et le manteau du colonel ou j'ai beaucoup ri. Dans ces deux dernières nouvelles l'auteur exploite le thème de "l'arroseur arrosé" car a chaque fois le personnage central essaie de rouler les autres dans la farine mais ça se retourne toujours contre lui.

D'autres nouvelles sont plutôt inquiétant comme William et Mary ou Gelée Royale voir dérangeante avec Cochon. Mais avec ce recueil et surtout l’écriture de Roald Dahl vous êtes toujours certain de passer une très bon moment.

dimanche 27 octobre 2013

Swap Moi+toi+elle+elle - thème libre

En début d'année, je me suis inscrite pour un swap qui se déroule sur toute l'année. J'ai rencontré des personnes formidables qui maintenant sont devenues mes amies et qui compte beaucoup pour moi. Juillet était mon mois, j'avais choisi l'Italie comme thème est comme vous pouvez le voir chacune m'a concocté une enveloppe pour me gâter!

D'abord Aveline :
-2 chouettes marque page,
-1 jolie carte
-et un livre de recettes qui est devenu un incontournable pour moi!


Ensuite Marjorie (Kitomy) :
-un livre de ma wish : l'obsession Vinci que j'ai hâte de lire!!!
-de très bons gâteaux qui n'ont pas fait long feu....
-et une jolie carte


Sandra (missjazz) :
- l'italien pour les nuls, je reve de parler italien c'est exactement ce qu'il me fallait,
- des chocolats au café qui est extra
-et un petit mot

Julie (Biblio87)
- Une jolie carte rigolote
-deux masques pour le visage
- un savon qui sent merveilleusement bon et qui laisse la peau toute douce
- un rouge a lèvre et du fard a paupière dans les couleurs que j'aime

Aurore ( Aurore84)
Alors il y a eu un petit accident avec l'enveloppe d'Aurore, malheureusement elle s'est ouverte pendant le transport et deux stylos au couleurs du drapeau italiens ont été perdu....
- Il en reste quand même un vert ;)
-des très chouette crayons de bois
et une très belle carte de Provence

Cyrielle ( tetedelitote)
-Une carte magnifique, j'adore vraiment
et une surprise a accrocher sur ma valise lors de mes prochains voyages! (ca va servir le mois prochain pour New-York)

Ophélie (bebejon) :
-Un magnifique carnet avec un petit mot. Waouhhhh

 Alexandra (Kprécieuse) :
Elle m'a peinte une magnifique aquarelle que j'adore

Fanny (Leloirestef) :
-Des très beaux marque pages avec des vues d'Italie
-En gourmandises ce sont (enfin c’était car ils ont vite été mangé) : des petits casse-croute chocolat noisette : un régal!

 Constance (Ellison) :
qui avait décoré son carton avec des vues italiennes :
Et son colis était remplis de délicieuses gourmandises


Aveline et Constance m'avait fait un petit clin d’œil en allant a Disney un mois avant : 

Et enfin l'enveloppe de Koralie (Lady_Kora) :
Du bon chocolat chaud miam!!!


Un énorme merci les filles vous êtes les meilleures!

Swap home sweet home

Il y a quelques temps, je me suis inscrite au swap home sweet home avec Kprécieuse sur livraddict. Le but était de faire découvrir son "chez soi" et de partager des souvenir avec sa swappée. Comme vous pouvez le voir Kprécieuse habite en Bretagne!

Et surtout j'ai été très gâté : 
 

 Voila une photo de l'ensemble alors je m'excuse pour la qualité affreuse des photos. Je les ai prise avec mon téléphone le soir et surtout rapidement car j'avais des invités a la maison.....

Plus en détails :
-Un livre de déco vintage, je ne l'ai que feuilleté pour le moment mais déjà les photos sont très belles!
-La fiancée de Bombay, je n'en avais jamais entendu parlé et c'est ma swappée qui a voulu me le faire découvrir. Je pense que je ne tarderai pas a le lire car il me fera voyager en Inde.
- et enfin un livre de ma wish qui me faisait très envie : Rien n'est trop beau!

Des gourmandises :
- Du chocolat crunch, miam!
-et dans la petite boite en cœur : des palets bretons. Kprécieuse doit avoir un sixième sens car j'adore ça!

Et les surprises :
-un cadre avec un photo de notre copine commune Aveline et moi
- un magnifique carnet
- un très beau marque page, réalisé si je ne me trompe pas par un artiste de sa région.
-Un marque page fait main, qui est juste splendide et qui a impressionné mes invités lol
-Un "carnet" de dragées du baptême de son fils (j'ai été très émue que ma swappée partage ce souvenir avec moi)
-Et enfin une carte avec un petit mot gentil.

Un énorme merci a ma swappée Kprécieuse pour ce colis vraiment superbe et pour l'organisation de ce swap, c’était une excellente idée.